le secrèt du carrefour

Les carrefours

Le carrefour est une croisée de chemin .une association de dualités, le carrefour du destin .Dans les r^vues, le carrefour peut symboliser l’embarras, du choix. Le rêveur hésite de prendre une décision pour sa vie intérieure.

La croix est en elle-même un symbole de salut pour les chrétiens. Elle possède les caractéristiques d’un carrefour en forme de T. C’est l’association du contraire. Chaque carrefour possède un centre au tour duquel se rejoignent  les routes. C’est une sorte de MANDALA.

Dans le rêve, lorsqu’ on se trouve dans un carrefour, c’est toujours pour prendre une décision cruciale. Le rêveur se pose souvent la question de savoir  s’il doit avancer, reculer, aller vers la droite ou vers la gauche.

Aller en avant dans un rêve est souvent positif. L’on avance vers l’avenir, vers un but, vers un objectif. A  moins que le rêveur angoisse de peur d’affronter l’inconnu. Si par contre il retourne en arrière c’est à dire vers le passé, ce n’est pas forcement négatif puis qu’on peut revenir vers la source pour se ressourcer et prendre un nouveau départ.

Le carrefour est l’association des dualités. La gauche rejoint la droite ainsi que le haut rejoint le bas.

En occultisme, le carrefour est un lieu habité par des esprits. Chaque carrefour possède ses propres agents. C’est alors qu’on distingue deux variantes de carrefour : le carrefour en forme de T et celui en forme de Y (un carrefour féminin). C’ est pourquoi beaucoup de pratiques magiques d’envoûtement ou de désenvoûtement se déroulent se pratique dans des carrefours. Dans la plupart des pays Africains, lorsqu’ on veut se débarrasser d’une maladie ou d’une malchance, on se rend à un carrefour à une heure tardive Là, on fait  un bain pour se débarrasser de ses souillures. On s’essuie et on laisse la serviette sur place en cassant des œufs et des pièces de money .On peut aussi y laisser de la nourriture pour les esprits. Celui qui ramassera ces pièces ou qui prendra cette serviette portera toute la malchance.

Lorsque quelqu’un a une fracture, il n’est pas conseiller qu’il traverse les carrefours de peur de voir cette dernière s’aggraver.

Celui qui refuse de croire à ces choses qu’ il boive toute une fleuve sans respirer.